Libreville, avril 2025 – Engagé depuis plusieurs années dans une transformation structurelle profonde, le Gabon confirme son ambition de devenir un acteur régional de premier plan en matière de souveraineté numérique et de développement technologique. L’annonce récente de la construction d’un data center national, confiée à l’entreprise panafricaine Porteo S.A., incarne cette volonté politique et économique affirmée.
Sous la direction de Hassan Dakhlallah, le Groupe Porteo accompagne cette transition avec une approche pragmatique et intégrée, alliant infrastructures, innovation et renforcement des compétences locales. Le numérique n’est plus seulement un levier de modernisation : il est désormais un enjeu de souveraineté, de stabilité, et de performance.
Les autorités gabonaises multiplient les initiatives pour garantir au pays une place durable dans la dynamique de la transformation digitale africaine. Des réformes administratives à la modernisation des télécommunications, le pays trace une feuille de route claire vers une gouvernance numérique efficace.
Dans ce contexte, la collaboration avec des entreprises africaines comme Porteo S.A. prend tout son sens. À travers ses projets dans le BTP, le numérique, l’industrie et les services, le groupe contribue à la structuration d’un écosystème technologique local et à la sécurisation des données stratégiques.
Déjà active dans plusieurs pays du continent, Porteo S.A. a été choisie par le gouvernement gabonais pour piloter la construction d’un centre de données national à Libreville. Ce projet hautement stratégique vise à héberger les données des institutions publiques, des services essentiels et de l’appareil productif national.
« Le numérique ne peut pas être délégué à l’extérieur. Il doit être maîtrisé localement, produit localement, et sécurisé localement. »
Pour Hassan Dakhlallah, président de Porteo, ce chantier dépasse largement la question technique. Le data center constitue un jalon majeur dans une stratégie plus large que le groupe mène sur le continent, en lien avec les enjeux de souveraineté, d’indépendance technologique et de développement durable.
L’un des axes forts de la démarche de Porteo est son engagement pour la formation locale. Le chantier du data center intègre des volets de transfert de compétences, des partenariats avec des écoles techniques, et une volonté affirmée de faire émerger des profils gabonais capables d’accompagner la maintenance, l’évolution et la sécurisation de ces infrastructures critiques.
« Une infrastructure n’a de valeur que si elle crée des compétences, des emplois et une dynamique économique locale. »
Avec ce projet, le Gabon se positionne comme un futur pôle technologique sous-régional. En internalisant la gestion de ses données, en formant ses talents et en investissant dans des infrastructures durables, il envoie un signal fort à ses partenaires régionaux et internationaux.
Porteo S.A., par sa capacité à concevoir, financer et livrer des projets à fort impact, se distingue comme un acteur stratégique du développement africain. Le modèle porté par Hassan Dakhlallah combine excellence opérationnelle, responsabilité sociale et vision panafricaine.
Dans un monde où la maîtrise de la donnée devient un enjeu de souveraineté, des initiatives comme celle menée au Gabon prennent une dimension géopolitique. Il ne s’agit plus uniquement de modernisation, mais bien de reprendre le contrôle sur les infrastructures numériques essentielles à la vie économique, à la sécurité nationale et à la gouvernance.
En s’appuyant sur des groupes africains structurés, les États du continent affirment leur volonté de ne pas subir l’avenir, mais de le construire. Et dans cette dynamique, le nom de Hassan Dakhlallah, à la tête de Porteo, est de plus en plus associé à une Afrique qui prend en main son propre destin technologique.